Lancement de Realitim III.
Lausanne, le 7 juin 2021 – Alors que Fundim SA annonçait, en début d’année, la clôture de Realitim I, son premier véhicule de placement de type SCmPC, le gestionnaire de placements collectifs immobiliers est heureux d’annoncer le lancement officiel de Realitim III, en cours d’approbation par la FINMA. Un timing parfait vu que la période d’acquisition de Realitim II vient tout juste de s’achever avec pas moins de douze projets en portefeuille. Toujours avec un objectif de rendement à deux chiffres en ligne de mire. Retour sur une fabuleuse histoire qui fête ses dix ans cette année.
Au travers de ses véhicules Realitim, Fundim SA s’est donné comme mission d’offrir aux investisseurs un accès direct à un segment porteur de l’immobilier : le développement. La vision alors était de conjuguer la performance d’un produit de « capital-risque » à la solidité de la pierre.
Realitim I : la prise de risque et l’innovation
« Quand nous avons démarré cette aventure il y a dix ans maintenant, nous étions convaincus de notre idée mais il restait à démontrer par les faits la forte valeur ajoutée qu’il est possible de générer dans cette phase du cycle de vie d’un bien immobilier » se rappelle Daniel Moser, CEO de Fundim SA. Avec un taux de rendement interne net (TRI net) de 13% et une valeur totale nette à verser (TPVI net) de 1.8 pour Realitim I, qui vient de clôturer ses comptes, la preuve par les chiffres est faite.
Realitim II : la confirmation d’un modèle nouveau
« Forts de nos succès avec cette première SCPC, nous avons lancé Realitim II en 2016. Aujourd’hui, nous sommes ravis de constater que le modèle a fait ses preuves » souligne Simon Potier, COO de Fundim SA. Ce sont ainsi douze sites qui ont été acquis, complémentaires de par leur localisation, leur taille et leur typologie, et qui permettent une magnifique diversification du portefeuille de projets. Toujours avec un horizon temps de sept à neuf ans, Realitim II vise, comme son frère ainé, un rendement à deux chiffres.
En comparaison à Realitim I, les objets sont géographiquement plus étendus et l’on trouve des projets aussi bien sur la Côte, à Lausanne, dans le Gros-de-Vaud que sur la Riviera. Au-delà de sa forte présence en terre vaudoise, Realitim II est active également sur Neuchâtel et Fribourg, etreste fidèle à son positionnement, en se concentrant « en amont » du processus de développement sur des investissements à moyen terme.
Realitim III : le développement immobilier qui mise sur l’auto-suffisance énergétique
Si le positionnement stratégique reste inchangé, à savoir occuper des segments de marché peu valorisés, les équipes de Realitim III se fixent comme objectif de se concentrer sur la densification douce par la réalisation d’habitation auto-suffisante énergétiquement et une démocratisation de l’acquisition au logement. Rappelons ici que le modèle d’affaires de Fundim SA et ses fonds Realitim repose sur la création de valeur ajoutée par le pilotage des projets dans les diverses phases de développement, de l’affectation des terrains à la conception et la réalisation des immeubles. La revente des biens immobiliers ainsi développés se fait lorsque la maturité du projet est atteinte, que ce soit à la légalisation de droits à bâtir, à l’obtention des permis de construire ou à la mise en service après réalisation.
Fundim SA vise des souscriptions à hauteur de 100 millions de francs pour Realitim III. « Nous avons constaté, au travers de l’expérience Realitim I et Realitim II, qu’en Suisse romande ce volume de 100 millions représente à la fois un levier suffisant pour être réactif et saisir les opportunités mais aussi suffisamment confidentiel pour assurer, depuis le début de la levée de fonds à la clôture du fonds, la conduite de projets immobiliers » commente Gilles Basse, CFO de Fundim SA. Le démarrage de Realitim III semble être en bonne voie avec non seulement des projets déjà signés mais également des promesses de souscription. L’appel aux investisseurs est lancé.